Le groupe du mage accompagné de Devrok arrivèrent au campement du vieux mage, quelques gardes s'y trouvaient et défendaient le lieu.

- Très bien voulez vous entrer tout de suite ou bien attendez au campement demain matin ?

Le groupe répondit chacun leur tour :

- peu importe. Fit la fille.

- Ne perdons pas de temps. Répondit le lézard.

- Nous reposer serait plus sage. proposa l'homme en armure.

- Je m'en fiche. annonça le jeune homme.

Le vieux mage se tourna vers le jeune homme.

- Et bien... Il semblerait que ce soit un vote. Que décidez vous ?

- Nous ne savons pas quand sera la prochaine fois que nous aurons l'occasion de prendre un peut de repos. Je vote donc oui pour le repos.

Je regarda tous les membres de l'assemblé, puis dis après avoir longuement analysé chacun d'entre eux:

- Excusez moi, mais je ne connais toujours pas vos nom, me feriez vous l'honneur de me les dire ?

- Je suis Adalante, mon père était chasseur j'ai donc suivit son enseignement mais les animaux c'était un gibier trop simple. Je suis devenu chasseuse de prime.

- Je me nomme Sahaalazard Melchior Ja. Mes amis m'appellent Sahaa. Je suis de sexe masculin si tu te posais la question.

- Francis Nightsoul. Je fais partis du parlement de Jade, tout comme notre amis le mage.

- Je me nomme Phaes Deornis, je ne suis pas d'Atias j'ai vécu dans Siril j'ai décidé de quitter ce pays de malheur et de reconstruire ma vie autre part.

* Décidément, je trouve la petite Adalante vraiment mignonne *

- Bien, pour ma part, je me nomme Devrok.

Je regarda Adalante et dis:

- Je vois que vous ne manqué pas de sang-froid, je pense que nous allons bien nous entendre.

Je repris un aire neutre et dis:

- Pouvez-vous m'en dire plus au sujet du parlement de jade et de votre implication au sein de ce parlement Francis?

- Hmmm très bien. J'y suis rentré très récemment donc pour quelqu'un de mon age je ne pourrais pas y faire carrière. Je suis pas très haut gradé donc je ne peux pas vous dire grand chose. Mais notre rôle est en grande partie de défendre la veuve et l'orphelin comme dirait l'autre. Mais nous nous occupons aussi de combattre des monstres, de défendre des personnes, de ramasser des objets pour certaines personnes. Certains nous nomme mercenaire, je pense qu'ils n'ont pas tord. Mais dans le fond je pense que nous sommes plus juste que la moyenne, nous ne faisons pas de distinctions entre une demande de paysan et celle d'un noble. Nous faisons nous prix par rapport aux moyens des personnes.

- déjà ? je viens de sortir le sac de couchage...

- peu importe. Fit la fille.

- Ne perdons pas de temps. Répondit le lézard.

- Nous reposer serait plus sage. proposa l'homme en armure.

- j'ai sortit mon duvet ! . annonça le jeune homme.

Devrok a le sentiment d'avoir déjà vécu cette situation.

( Tu m'étonne! mdr ^^ )

- Bon, qu'il en soit ainsi, nous ne pouvons partir avec des coéquipier fatigué ou non motivé. Nous lèverons donc le camps demain à l'aube.

* En plus avec un peut de chance je pourrais voir Adalante en tenue légère. *

Le groupe s'installa dans les tentes, Devrok se retrouva dans la tente du vieux mage.

- ... Je vous trouve soucieux, y aurait-il quelque chose que vous ne nous auriez pas précisé ?

Je dit cela tout en m'installant sur ma couchette.

- Je le suis... Je m’inquiète beaucoup... Il y a quand même deux groupes de morts...

Le vieux soupira.

- Tu devrais dormir, demain sera une longue journée pour toi.

- Bien.

Ce soir là, je ne dormi que d'un œil.

Le réveil fut assez brutal pour Devrok ce matin là.

- DEBOUT LA DEDANS ON Y VA !

Fit une voix que Devrok reconnu aussitôt.

En entendant cette voix, Devrok se leva aussitôt malgré la dureté du réveil.

- Je vois que vous êtes bien plus matinal que prévu.

- Entendre votre voix de bon matin m’enjoue.

Si d'autre ne sont pas levé, je vais les réveiller.
J'attend que tous le monde se prépare puis lance à l'assemblé:

- Si personne n'a rien d'autre à faire, je propose que l’ont entre dans ce tombeau.

- Très bien je vais vous ouvrir.

Le vieux mage leva son bâton et s'écria:

-Annon Edhellen edro hi ammen.

Fennas Nogothrim lasto beth lammen.

Ando Eldarinwa a lasta quettanya, Fenda Casarinwa!

Edro, Edro!

Comme par enchantement les portes du tombeau s'ouvrit et un couloir s'enfonçait dans les ténèbres.

Je regarda les ténèbres apparaître devant moi.

- Sahaa, peut-tu passer devant et nous servir d'éclaireur ?

- ... Ce n'est pas mon rôle... Sans vouloir t'offenser je pense que tu as un jeune âge et qu'il te reste beaucoup à apprendre.

La fille et l'homme en armure et au bouclier rigolèrent. Le plus jeune fit mine de ne rien entendre.

- Donc bon. Fit l'homme en armure. Je passerais devant Saah si quelque chose ne tourne pas rond protège l'arrière garde c'est à dire vous l'archère et le savant qui sait tout. Toi Phaes, Tu improvises, tu me soutiens mais si à l'arrière ça passe pas tu vas aider. Quelqu'un a des questions ? Bien évidement si je tombe et seulement si Saah passera devant.

* Bon bah j'imagine que je vais devoir suivre ses ordres pour le moment. Du moins, jusqu'à ce qu'il tombe. *

Nous entrâmes donc dans le tombeau dans l'ordre convenu.

Le groupe entra donc il faisait sombre, le lézard alluma des torches et en donna une au plus jeune.

- Bien, avançons.

À la lumière des torche, j'inspecta l'endroit où nous étions, sans oublié de détaillé des yeux les murs, plafonds et sols.

Pour la plupart du sol, c'était de la terre batu de toute évidence avec des semblants de dalles de pierre par ci par là. Les murs étaient de pierre avec des sorte de dessins dessus. Les dessins représentaient surement une carte des Insulos, avec des déplacements stratégique.
Le plafond était aussi de pierre, plus le groupe avançait et plus vous commenciez à trouver le temps long. Mais au bout d'une demi heure de marche vous arrivez à plusieurs interception.

Gauche, droite, tout droit.

En voyant ces trois entrées se profiler devant moi, je décide donc d'inspecter ces dernières.
Après avoir fait ceci je lance au groupe:

- Alors, qu'en pensez-vous ?

- Hmmm, ça me semble être un piège. Soit l'on veut nous séparer, soit l'on veut nous faire penser qu'il faut qu'on se sépare pour ne pas.

- Quoi ?

- Heu... En gros ils veulent nous faire...

- Bref tout droit ça ira plus vite non ?