Iria se reforma en une personne fouilla son adversaire et partit en direction des sanglots

Mao suit Iria en direction des sanglots.

Ils sont encore combien ces tordus ?

Hasaruge prend l'enfant avec lui et fit de même.

-Et lui, on en fait quoi ?

Vous partez donc vers les sanglot qui finissent par s'estomper et entandé venant de la mime direction un crie d'agonie ... Vous arrivez alors a se moment la en bas d'une grande demeure plutôt luxueuse . La porte étais grande ouverte et d'un coup une fenêtre du deuxième étage explose alors qu'une personne se défenestre avec une petite fille dans les bras qui crie de peur ... un autre homme capuchonné attirée au sol dans un nuage de poussière devant vos yeux et la petite fille dans ces bras protester vigoureusement

-"Tu est fou ?! Lâche moi ! ôte t'es sales mains de moi ! Je veux voir mes parents ! MAMAN ! PAPA !!!"

Mao mit l'homme en joue.

J'aurai bien une idée de ce qu'ils ont, mais vous risquez de ne pas apprécier...

En voyant la blonde s'approchait de moi et viser l'enfant, je recule d'un pas et lance mon sort Jugement d'Atoum dans le vide afin de servir de barrière pour nous séparer et lance au groupe:

- À vos manières et vêtements, je devine que vous n'êtes pas avec ces sombres personnages... Sachez que moi non plus et que je viens juste d'aider cette petite.

Dissipe le sort,
Met la main sur la tête de la fillette et lui essuie ses larmes.
Lance un regard sévère vers la troupe et dit:

- N'imposaient pas plus de violences à ces yeux innocents !

Iria range sa rapière "Bureka" et regarda cette étrange personnage.

- Je voit, je reste quand même sceptique, mais si cette fille ne dit pas le contraire alors, je vais te croire. Mais de qui venait le cri de douleur que nous avons entendu alors ?

Iria gardait ces distances en guettant une réaction de la part de cette homme étrange.

Je repris mon habituel (poker face) air calme et sans émotions et dit simplement:

- Je n'aime pas les gens qui s'en prennent aux enfants, cette homme risque de s'en souvenir un moment.
Tout en montrant distraitement la fenêtre d'où je venais.

Puis ajouta:

- Si vous voulez vérifier mes dires, vous n'avez qu'à aller jeter un œil, vous trouverez un homme bien gentiment endormit.

Iria regarda l'air calme de l'inconnu, puis dans un soupir de résignation, regarda la jeune fille qui avait l'air sans danger.

- D'accord, je vais te croire. Mais alors que fait tu ici ?

(oww se que je fait ici ? ...Affaires ! la drogue ,l'argent ,esclaves , les femmes ~ Je suis un honnete proxénetè madame ......)

(Elle est blonde, j'ai tous les droits XD)

J'avance vers le groupe tout dépassant la blonde sans même la regarder.  

- Hasard.

Je continu vers le groupe en passant au milieu d'eux sans m'en soucier et les dépassent en prenant la direction derrière eux avec la gamine.

(Même si ça m’étonnerais que vous me laissiez vous mettre un aussi gros vent mdr ^^)

Au moment où tu essaie de me dépasser, je me décale pour te boucher le passage.

- Tu croit vraiment pouvoir passer comme sa ? Je veux bien te croire, mais je n'ai jamais dit qur tu pouvait partir comme sa.

Iria restait le regard calme devant cet inconnu.

- Je voit qu'on c'est comprit, tu peux maintenant ouvrir la marche, on compte aller à l'église.

Iria ne bougeait pas d'un centimètre

Iria posa la main sur ton épaule pour te faire tourner sur toi méme et te faire signe d'avancer.

- T'a pas l'air très réactif toi.

Ne bouge pas.

- Dis moi la blonde, tu n'a quand même pas prévus d'aller à l'église avec les enfant ?

Je me retourne vers les autres et leur demande:

- Dites-moi, est-elle toujours aussi sotte ?

- Bien sur que si, je ne voit pas où est le problème.

Iria força cette fois-çi pour faire bouger cette inconnu, qui commençait à lui faire perdre son sang-froid malgré sa forme de l'eau.

- A moins bien sur que tu n'est une bonne raison qui vaille la peine d'être entendu ?

- Ne pars pas explorer un endroit dont tu ne sais rien sans même mettre les enfants à l'abris d'un potentiel danger.

Marque une pause puis dit:

- Et pour répondre à ta question, oui, je ne veux pas y emmener les enfants car l'église est pleine de ces gars qui s'y croient un peut trop.

Fini sa phrase avec un rictus mauvais sur le visage.