le groupe constitué d'altis, lokos, et tisma aparut.
-ques qui c'est passé

lokos: arg, non pas encore.....
lokos tomba a terre.
lokos: ARRRRRR

altis se retourna pour voir lokos.
-ques qui...
juste dérriére lokos se tenait une porte grande ouverte, donnant sur un vide infini.
-ses pas possible, ques qu'on fait ici ?

lokos: il faut.... partir..... NOOOOOONN
chuchote: reste et viens a moi.
lokos: je ne veux plus être ton SERVITEUR!!!
chuchote: refaisons qu'un!!!
lokos: je ne veux pas....

tisma: heu tu va bien???
lokos regarda autour de lui, un trai noir dépassez de son cou.
lokos: partons..

-arréte, ses peut étr l'occasion de refermer cette porte, on doit resté

lokos:(pense: je pense pouvoir faire taire cette voie assez longtemps pour refermé cette porte)
lokos: bon d'accord.

-passe devant, j'ai doit d'abors me soigner

tisma et lokos entrerent

altis soigna ses blessure et se reposa un peu.
-tu dois pouvoir le faire, lokos

altis se leva et avança vers la porte.
-il doivent avoir terminé.
altis traversa la porte

lokos se reveilla avec tisma mais altis n'était plus la.

la porte commença a se refermet, la fumée noir commença a se dissiper, la lumiére du jour commença a éclairer les terre morte d'atias.
seul 13 ombre caché encore le soleil, avant de disparaitre dans le néant.
un homme s'aprocha de Lokos.


-cet a vous que l'on doit se miracle ?

lokos: je je... que c'est il passer... a oui je me souviens... qui êtes vous?

-Mon nom est Rav Iolent, et vous ?

je suis lokos et non se n'est pas moi pas en quelque sorte moi qui vous est sauver c'est un de mes coéquipier que je ne voit pas d'ailleurs...
j'était avec lui quand cela c'est produit...

-je vois, vous pouvait me dire son nom.

heu... il ne me la pas dit a vrai dire enfin pas dans mon souvenir... tout est si flou voyez vous j'ai mal au crane moi vous aurais pas une aspirine???

-désolé, je n'en ai pas, mais vous pouver vous reposer cher moi, j'ai quelque chose d'important a vous dire.

lokos:heu oui volontier je reveille mon coéquipier et je suis a vous.
leve toi fégniasse!!!

un aie se fit entendre. puis un' c'est bon je me leve'
lokos: on vous suit

-vener.
ils partire dans les rue déserte de la ville